Démarche à tiroir : proposant une série de "dispositifs" qui ne s’enchaînent pas par "nécessité", mais plus ou moins gratuitement, et que donc chacun pourra réutiliser dans différentes séquences à sa sauce en fonction de l’objectif, du "noyau conceptuel" choisi.
Prévoir une journée ou deux demis-jours.
PARTIE 1 ("CERVEAU GAUCHE")
1. Introduction : la "curiosita "de Léonard de Vinci : l’art de se poser des questions (à propos de "ce qui va de soi").
– pourquoi le ciel est bleu ?
– comment les oiseaux volent-ils ? Comment accélèrent et freinent-t-ils ? Pourquoi des plumes ? Quand dorment-t-ils ?
– l’âge de la terre, le vent, les nuages, la génétique, le fonctionnement des organes du corps humain...
Autre intro :
Noyau : accompagner.
Un des outils est l’expression comme effet libérateur.
La Base du dispositif d’apprentissage, c’est de partir d’une question, d’une "énigme", on pourrait dire "énigmatisez". Ex. : Pourquoi le ciel est-il bleu ?
Extrait de Nicolas Go sur "Problématisez" (distribuer) :
En somme, il faut, comme on dit en philosophie, transformer les questions en problème. La question ordinaire appelle une seule réponse possible qui clôture la question. La réponse fait souvent appel à des données disponibles (mémoire, dictionnaire, instrument…). La question est une demande adressée en vue d’apprendre quelque chose (par exemple quelle heure est-il ?) ; le problème ne se réduit pas à une simple question : les savoirs acquis n’étant pas directement applicables, le problème nécessite de faire des hypothèses, d’engager une recherche, de confronter des positions, il exige de surmonter une difficulté, il implique le redoublement de l’embarras. Il exige par là une mise à distance par rapport aux évidences, un effort intellectuellement coûteux, il induit un risque (celui d’affronter les limites de notre pouvoir de comprendre), il suggère une démarche susceptible de modifier nos cadres habituels, il demande de prendre du temps pour assumer la complexité des choses. La question devient problème lorsque sa réponse appelle la médiation et l’élaboration d’un savoir, alors même qu’elle relance la pensée et donc l’interrogation.
Lecture silencieuse.
Partage rapide.
Réponse aux questions.
2. Textes affichés partout dans la salle.
En choisir un (ou deux) qui nous "titille", qu’on a envie de triturer, qu’on ne comprends pas bien, qu’on a envie de creuser et qu’on a envie de commenter, ou avec lequel on n’est pas d’accord, retourner à sa place et "problématiser".
Rappel :
Les savoirs acquis n’étant pas directement applicables, le problème nécessite de faire des hypothèses, d’engager une recherche, de confronter des positions, il exige de surmonter une difficulté, il implique le redoublement de l’embarras. Il exige par là une mise à distance par rapport aux évidences... il induit un risque…
Exprimer le malaise, l’incompréhension, la contestation, la mise en question, médiation, transposer dans la classe. Ou des questions pour aller plus loin...
Eventuellement, imaginer un dialogue, ou un débat.
"Redoublez votre embarras !"
Défi, rupture
3. Partage (éventuellement en petits groupes)
Matériel pour cette partie : texte (A5), textes à afficher, trombones, ficelle ou patafix, texte et livre "Léonard de Vinci".
PARTIE 2 (CERVEAU DROIT)
Possibilité de démarrer la démarche ici.
1.A. Ecoute musicale et voyage imaginaire, qui opère une rupture, relève des défis
(Kyrie en arabe – Voix de femme, n° 9, ou autre (Pierre Henry (éventuellement laisser prendre des notes pendant cette écoute), Liu Fang, Tartit, Trilog Gurtu, Schnittke, Guidon Kremer...), Puka Amaru, Spiegel und spiegel…
Autres suggestions : Peter Gabriel (Rabbit …) :
1. Grace’s Recapture (4:40) (total : 7:40) ;
2. A Sense of Home (1:59) (Total du tout : 9:40) (éventuellement laisser prendre des notes pendant cette écoute)
1.B. Silence
Eventuellement avec un thème "beauté"(texte : "Et si la beauté pouvait sauver le monde ?" (Dostoïevski)
ou Yéhudi Menuhin :
"La violence est l’accumulation muette de talents réprimés". Si l’enfant, devenu adulte, souffre des limites de son manque d’épanouissement, il cherchera des responsables à son malheur. S’il ne les trouve pas, il les inventera. Le voisin détesté est l’ennemi idéal, c’est la règle. Les artistes ont le don de transformer la violence en art, de sorte que même leurs ennemis puissent en jouir. L’art prépare l’enfant à la connaissance avant qu’il ne soit exposé à la discipline et aux rigueurs de la vie." (Yéhudi Menuhin)
1.C. "Prélever à l’écoute des mots, expressions "qui vous rencontrent, vous enchantent, vous percutent (vous persécutent), vous excitent..."
Note : selon la musique, suggérer l’écriture de quelques mots pendant l’écoute (par ex. Pour Pierre Henry)
1.D. Exprimer graphiquement ce qu’on a ressenti
(dans un cercle sur A4 dessin – à préparer, pour gagner du temps - éventuellement sur A3 dessin)
"Noter quelques mots (émotions - sentiments - pensées -ressenti corporel - associations)"
(Eventuellement partage en petit groupe pendant quelques minutes, si on a le temps. - utile)
1.E. Afficher, titrer (petites feuilles A5 préparées + marqueurs fins)
1.F. PARTAGE (INDISPENSABLE).
On peut passer directement à cette étape en sautant D, E et F.
2. TRAVAIL GRAPHIQUE.
On se regroupe autour dune petite table (à 4 ou 5 max.) avec à disposition du matériel graphique : encre de chine, brou de noix, (pas de pinceaux), éléments naturels divers, éponges, et différents papiers (blancs, crèmes, gris) de 10 X10, bâton de colle, chiffons, bouts de bois, pailles, cotons tiges, brosses...
Toiles cirées ou nappes en plastique.
"Travaillez la tache" (extrait d’une démarche d’Odette et Michel Neumayer)
A l’encre de chine ou au brou de noix, imprégné de ces mots écrits, faire couler le "hasard" (Cette consigne est importante). On laisse venir, on étire, on "lit" ce qui advient, on poursuit, on expérimente, on se laisse porter par la notion de "séries" (refaire en modulant différences et similitudes).
Chacun réalise au minimum une dizaine d’essais.
Les essais sont placés au centre, en damier.
• SOIT :
Chacun choisit 4 ou 5 de ces "essais", pour les agencer, et former une histoire, écrire un texte de liaison, rédiger des transitions. Eventuellement donner un thème. (Par exemple, comme une BD).
• SOIT :
– PARTIE ÉCRITURE, (facultative) AVEC Elsa Triolet : la "partie creuse d’une vie".
Produire des fragments de lettres, de récits commencés n’importe où, de "je me souviens" (essentiel, ne pas oublier !), de morceaux de poèmes, morceaux d’argumentaires, morceau de vie...
S’interroger sur "ce qui va de soi" ou de ce qui pourrait apparaître comme des "n’importe quoi", des événements creux, à première vue sans intérêt.
Ecrire chaque fragment bien lisiblement sur des bandelettes de papier, et les étaler sur une table où d’autres pourront jeter un oeil pour relancer son écriture.
Permettre
– de relier, mette en réseau, opposer, compléter en rayonnement ou associations…
– de synthétiser au centre
– de colorer, regrouper, illustrer : varier les écritures en couleur, couleurs par thèmes, souligner…
(Intéressant d’avoir au préalable fait un exercice collectif de schéma heuristique au tableau.)
2. Choisir ou recopier 5 ou 6 fragments.
3. Choisir parmi des damiers d’essais quelque uns pour illustrer les fragments de textes ou leur offrir un contrepoint, une image paradoxale, interpellante, suscitant un questionnement.
4. Rédiger un texte en rédigeant les parties manquantes, en créant des liaisons, des transitions entre les fragments, et placer les "essais" graphiques comme illustration, en collant le tout sur des grandes feuilles (au minimum A3, si possible deux A3 collées ensemble ou grandes feuilles de papier Kraft).
Travail individuel (pas adéquat tel quel en groupe : trouver une autre piste ou un prolongement pour le travail en groupe)
On peut ajouter une partie alternative sans Elsa Triolet
AFFICHAGE
SYNTHÈSE
Reprendre les questions de départ sur l’expression.
Les relire à la lumière de ce qui précède, en petits groupes de 3 ou 4, partage sur ces questions et les éclairages et/ou les nouvelles questions qui surgissent.
DEUXIÈME PARTIE DE L’ATELIER OU DEUXIÈME JOUR
SCHÉMA HEURISTIQUE CENTRÉ D’APPROPRIATION DE LA DÉMARCHE
Ce qui a favorisé, facilité, freiné l’expression, la créativité, la curiosité.
Mandala de synthèse
Ce que chacun retire pour lui-même
dans un mandala en 4 quartiers et un centre (sorte de schéma heuristique)
1- ce que je retire (les idées intéressantes que je retire de la démarche)
2- ce qui me reste comme "problème", ce que j’ai envie de prolonger, d’approfondir.
3- ce que je peux utiliser dans ma pratique : comment je peux prolonger dans ma pratique, mes préparations
- pour ma construction de démarches
- pour mes élèves
4- ce que j’ai envie de partager ici/ce que je garde pour moi
Au centre, un mot de synthèse (ou une expression)
ALTERNATIVE : AJOUTER UNE DIMENSION INTERACTIVE à la théorisation :
par groupes de 3, 4 ou 5 :
– Qu’est-ce qui modifie ma conception des choses (facilite, bénéfique, frein, n’a pas marché) sur le plan philosophico-politique (mes idées en général, nouveau paradigme) et pédagogique (le "comment faire")-Expression et créativité - avec Nicolas Go et Elsa Triolet
ALTERNATIVE : CONSTRUIRE LA THÉORISATION AVEC UN SCHÉMA HEURISTIQUE
Par groupes de 3 ou 4 personnes.
On peut intégrer la "relance bienveillante" dans le processus :
• travailler la tache – prendre 3 images – écriture
• relance bienDémarche à tiroir : proposant une série de "dispositifs" qui ne s’enchaînent pas par "nécessité", mais plus ou moins gratuitement, et que donc chacun pourra réutiliser dans différentes séquence à sa sauce en fonction de l’objectif, du "noyau conceptuel" choisi.
Prévoir une journée ou deux demis-jours.
PARTIE 1 ("CERVEAU GAUCHE")
1. Introduction : la "curiosita "de Léonard de Vinci : l’art de se poser des questions (à propos de "ce qui va de soi").
– pourquoi le ciel est bleu ?
– comment les oiseaux volent-ils ? Comment accélèrent et freinent-t-ils ? Pourquoi des plumes ? Quand dorment-t-ils ?
– l’âge de la terre, le vent, les nuages, la génétique, le fonctionnement des organes du corps humain...
Autre intro :
Noyau : accompagner.
Un des outils est l’expression comme effet libérateur.
La Base du dispositif d’apprentissage, c’est de partir d’une question, d’une "énigme", on pourrait dire "énigmatisez". Ex. : Pourquoi le ciel est-il bleu ?
Extrait de Nicolas Go sur "Problématisez" (distribuer) :
En somme, il faut, comme on dit en philosophie, transformer les questions en problème. La question ordinaire appelle une seule réponse possible qui clôture la question. La réponse fait souvent appel à des données disponibles (mémoire, dictionnaire, instrument…). La question est une demande adressée en vue d’apprendre quelque chose (par exemple quelle heure est-il ?) ; le problème ne se réduit pas à une simple question : les savoirs acquis n’étant pas directement applicables, le problème nécessite de faire des hypothèses, d’engager une recherche, de confronter des positions, il exige de surmonter une difficulté, il implique le redoublement de l’embarras. Il exige par là une mise à distance par rapport aux évidences, un effort intellectuellement coûteux, il induit un risque (celui d’affronter les limites de notre pouvoir de comprendre), il suggère une démarche susceptible de modifier nos cadres habituels, il demande de prendre du temps pour assumer la complexité des choses. La question devient problème lorsque sa réponse appelle la médiation et l’élaboration d’un savoir, alors même qu’elle relance la pensée et donc l’interrogation.
Lecture silencieuse.
Partage rapide.
Réponse aux questions.
2. Textes affichés partout dans la salle.
En choisir un (ou deux) qui nous "titille", qu’on a envie de triturer, qu’on ne comprends pas bien, qu’on a envie de creuser et qu’on a envie de commenter, ou avec lequel on n’est pas d’accord, retourner à sa place et "problématiser".
Rappel :
Les savoirs acquis n’étant pas directement applicables, le problème nécessite de faire des hypothèses, d’engager une recherche, de confronter des positions, il exige de surmonter une difficulté, il implique le redoublement de l’embarras. Il exige par là une mise à distance par rapport aux évidences... il induit un risque…
Exprimer le malaise, l’incompréhension, la contestation, la mise en question, médiation, transposer dans la classe. Ou des questions pour aller plus loin...
Eventuellement, imaginer un dialogue, ou un débat.
"Redoublez votre embarras !"
Défi, rupture
3. Partage (éventuellement en petits groupes)
Matériel pour cette partie : texte (A5), textes à afficher, trombones, ficelle ou patafix, texte et livre "Léonard de Vinci".
PARTIE 2 (CERVEAU DROIT)
Possibilité de démarrer la démarche ici.
1.A. Ecoute musicale et voyage imaginaire, qui opère une rupture, relève des défis
(Kyrie en arabe – Voix de femme, n° 9, ou autre (Pierre Henry (éventuellement laisser prendre des notes pendant cette écoute), Liu Fang, Tartit, Trilog Gurtu, Schnittke, Guidon Kremer...), Puka Amaru, Spiegel und spiegel…
Autres suggestions : Peter Gabriel (Rabbit …) :
1. Grace’s Recapture (4:40) (total : 7:40) ;
2. A Sense of Home (1:59) (Total du tout : 9:40) (éventuellement laisser prendre des notes pendant cette écoute)
1.B. Silence
Eventuellement avec un thème "beauté"(texte : "Et si la beauté pouvait sauver le monde ?" (Dostoïevski)
ou Yéhudi Menuhin :
"La violence est l’accumulation muette de talents réprimés". Si l’enfant, devenu adulte, souffre des limites de son manque d’épanouissement, il cherchera des responsables à son malheur. S’il ne les trouve pas, il les inventera. Le voisin détesté est l’ennemi idéal, c’est la règle. Les artistes ont le don de transformer la violence en art, de sorte que même leurs ennemis puissent en jouir. L’art prépare l’enfant à la connaissance avant qu’il ne soit exposé à la discipline et aux rigueurs de la vie." (Yéhudi Menuhin)
1.C. "Prélever à l’écoute des mots, expressions "qui vous rencontrent, vous enchantent, vous percutent (vous persécutent), vous excitent..."
Note : selon la musique, suggérer l’écriture de quelques mots pendant l’écoute (par ex. Pour Pierre Henry)
1.D. Exprimer graphiquement ce qu’on a ressenti
(dans un cercle sur A4 dessin – à préparer, pour gagner du temps - éventuellement sur A3 dessin)
"Noter quelques mots (émotions - sentiments - pensées -ressenti corporel - associations)"
(Eventuellement partage en petit groupe pendant quelques minutes, si on a le temps. - utile)
1.E. Afficher, titrer (petites feuilles A5 préparées + marqueurs fins)
1.F. PARTAGE (INDISPENSABLE).
On peut passer directement à cette étape en sautant D, E et F.
2. TRAVAIL GRAPHIQUE.
On se regroupe autour dune petite table (à 4 ou 5 max.) avec à disposition du matériel graphique : encre de chine, brou de noix, (pas de pinceaux), éléments naturels divers, éponges, et différents papiers (blancs, crèmes, gris) de 10 X10, bâton de colle, chiffons, bouts de bois, pailles, cotons tiges, brosses...
Toiles cirées ou nappes en plastique.
"Travaillez la tache" (extrait d’une démarche d’Odette et Michel Neumayer)
A l’encre de chine ou au brou de noix, imprégné de ces mots écrits, faire couler le "hasard" (Cette consigne est importante). On laisse venir, on étire, on "lit" ce qui advient, on poursuit, on expérimente, on se laisse porter par la notion de "séries" (refaire en modulant différences et similitudes).
Chacun réalise au minimum une dizaine d’essais.
Les essais sont placés au centre, en damier.
• SOIT :
Chacun choisit 4 ou 5 de ces "essais", pour les agencer, et former une histoire, écrire un texte de liaison, rédiger des transitions. Eventuellement donner un thème. (Par exemple, comme une BD).
• SOIT :
– PARTIE ÉCRITURE, (facultative) AVEC Elsa Triolet : la "partie creuse d’une vie".
Produire des fragments de lettres, de récits commencés n’importe où, de "je me souviens" (essentiel, ne pas oublier !), de morceaux de poèmes, morceaux d’argumentaires, morceau de vie...
S’interroger sur "ce qui va de soi" ou de ce qui pourrait apparaître comme des "n’importe quoi", des événements creux, à première vue sans intérêt.
Ecrire chaque fragment bien lisiblement sur des bandelettes de papier, et les étaler sur une table où d’autres pourront jeter un oeil pour relancer son écriture.
Permettre
– de relier, mette en réseau, opposer, compléter en rayonnement ou associations…
– de synthétiser au centre
– de colorer, regrouper, illustrer : varier les écritures en couleur, couleurs par thèmes, souligner…
(Intéressant d’avoir au préalable fait un exercice collectif de schéma heuristique au tableau.)
2. Choisir ou recopier 5 ou 6 fragments.
3. Choisir parmi des damiers d’essais quelque uns pour illustrer les fragments de textes ou leur offrir un contrepoint, une image paradoxale, interpellante, suscitant un questionnement.
4. Rédiger un texte en rédigeant les parties manquantes, en créant des liaisons, des transitions entre les fragments, et placer les "essais" graphiques comme illustration, en collant le tout sur des grandes feuilles (au minimum A3, si possible deux A3 collées ensemble ou grandes feuilles de papier Kraft).
Travail individuel (pas adéquat tel quel en groupe : trouver une autre piste ou un prolongement pour le travail en groupe)
On peut ajouter une partie alternative sans Elsa Triolet
AFFICHAGE
SYNTHÈSE
Reprendre les questions de départ sur l’expression.
Les relire à la lumière de ce qui précède, en petits groupes de 3 ou 4, partage sur ces questions et les éclairages et/ou les nouvelles questions qui surgissent.
DEUXIÈME PARTIE DE L’ATELIER OU DEUXIÈME JOUR
SCHÉMA HEURISTIQUE CENTRÉ D’APPROPRIATION DE LA DÉMARCHE
Ce qui a favorisé, facilité, freiné l’expression, la créativité, la curiosité.
Mandala de synthèse
Ce que chacun retire pour lui-même
dans un mandala en 4 quartiers et un centre (sorte de schéma heuristique)
1- ce que je retire (les idées intéressantes que je retire de la démarche)
2- ce qui me reste comme "problème", ce que j’ai envie de prolonger, d’approfondir.
3- ce que je peux utiliser dans ma pratique : comment je peux prolonger dans ma pratique, mes préparations
- pour ma construction de démarches
- pour mes élèves
4- ce que j’ai envie de partager ici/ce que je garde pour moi
Au centre, un mot de synthèse (ou une expression)
ALTERNATIVE : AJOUTER UNE DIMENSION INTERACTIVE à la théorisation :
par groupes de 3, 4 ou 5 :
– Qu’est-ce qui modifie ma conception des choses (facilite, bénéfique, frein, n’a pas marché) sur le plan philosophico-politique (mes idées en général, nouveau paradigme) et pédagogique (le "comment faire")-Expression et créativité - avec Nicolas Go et Elsa Triolet
ALTERNATIVE : CONSTRUIRE LA THÉORISATION AVEC UN SCHÉMA HEURISTIQUE
Par groupes de 3 ou 4 personnes.
On peut intégrer la "relance bienveillante" dans le processus :
• travailler la tache – prendre 3 images – écriture
• relance bienveillante en groupes de trois -> nouvelle image -> écriture -> relance…
(La relance porte sur l’image et l’écriture à la fois)
Note :
Annexe :
– Travail sur l’expression (N. Go)
(à propos d’une démarche "théoriser, oui... mais comment ?" GBEN, Buzet)
Crédit : des morceaux de cette démarche sont directement repris d’ateliers Ecriture et Art plastiques animés par Odette et Michel Neumayer ("Travailler la tache", "Relance bienveillante" et "Parties creuses d’une vie")
Nicolas Go et Elsa Triolet : atelier animé dans une formation pour l’Asbl "Lire et écrire"-
révision août 2010 • Michel Simonis veillante en groupes de trois -> nouvelle image -> écriture -> relance…
(La relance porte sur l’image et l’écriture à la fois)
Note :
Annexe :
– Travail sur l’expression (N. Go)
(à propos d’une démarche "théoriser, oui... mais comment ?" GBEN, Buzet)
Crédit : des morceaux de cette démarche sont directement repris d’ateliers Ecriture et Art plastiques animés par Odette et Michel Neumayer ("Travailler la tache", "Relance bienveillante" et "Parties creuses d’une vie")
Nicolas Go et Elsa Triolet : atelier animé dans une formation pour l’Asbl "Lire et écrire"-
révision août 2010 • Michel Simonis