I have long had and aversion to intelligence- or any other form of testing for ally when an incorrect significance was attributed to the results and whenever I saw the students who had undergone the tests labelled in unhelpful ways. I find it quite a different matter when testing is used constructively, as by Michel Simonis in Intelligence and Script. He points out that we use a model for interpretation which elicits and emphasizes a particular image of reality for the observer. Using the work of Dr. Jean Lerminiaux, who chose to see a low score in some area on the Wechsler test, for instance, ‘information’, as a refusal attitude, Simonis describes intellectuel abilities in terms of survival conclusions, offering also secondary ain of resistance. Using this way of interpreting the test, he is able to elicit hypothèses about script decisions, open up prospects of redecision, and sélect appropriate Permissions for the child in question. (p. 8.)
Erika STERN
Traduction en français :
J’avais depuis longtemps une aversion pour l’intelligence ou pour toute autre forme de test du même genre quand une signification incorrecte était attribuée aux résultats et chaque fois que je voyais les étudiants ayant subi les tests étiquetés de manière inutile. Je trouve que le problème est différent lorsque les tests sont utilisés de manière constructive, comme le montre Michel Simonis dans Intelligence et Script. Il souligne que nous utilisons un modèle d’interprétation qui suscite et souligne une image particulière de la réalité pour l’observateur. S’appuyant sur les travaux du Dr Jean Lerminiaux, qui a choisi de voir un score faible dans certains domaines du test de Wechsler, par exemple, "information", comme une attitude de refus, Simonis décrit les capacités intellectuelles en termes de conclusions de survie, offrant également de résistance. En utilisant cette façon d’interpréter le test, il est capable d’élaborer des hypothèses sur les décisions de script, d’ouvrir des perspectives de nouvelle décision et de sélectionner les autorisations appropriées pour l’enfant en question.
Günet Jures décrit quatre types différents de peur dans Making Friends with fear. Comme Mois plus tôt dans ce volume, il parle d’une boucle de rétroaction. Jursch clarifie ce point en ce qui concerne les aspects positifs de la peur, par exemple sa valeur projective et son enthousiasme positif, et en ce qui concerne la peur programmée qu’il appelle Rackety fear, citant un entretien d’embauche comme un bon exemple d’une telle peur dans un cadre non thérapeutique. . Il donne des suggestions concrètes sur ce que les gens peuvent faire pour se sortir de la partie irréaliste et insidieuse de leur peur.
Erika STERN